Entre 2008 et 2012, Michele Tecchia commence sa carrière dans le business development et la communication d’entreprise. En février 2012, grâce aux appuis de quelques investisseurs particuliers à Monaco, il crée sa propre entreprise spécialisée dans le conseil en marketing.
Étant un professionnel du growth hacking, une technique de marketing moderne basée sur une étude en profondeur des informations de flux et d’étapes d’usagers, Michele Tecchia est maintenant l’un des professionnels les plus réputés dans ce domaine. Focus sur ce growth hacker de renom.
Michele Tecchia passe par la start-up
C’est en étant gérant, professionnel de la création de contenu, du marketing, de la vente, du nettoyage, de la modération et bien d’autres encore, dans sa propre start-up que Michele Tecchia s’aperçoit de ce qui l’inspire fortement. Il évolue dans le milieu et collabore avec des géants tels que Ebooker ou encore Orange, afin de prouver toute sa capacité en tant qu’indépendant en matière de growth hacking. Faire pousser les sociétés avec qui il travaille est dorénavant devenu son objectif.
Au cours de ses cursus universitaires et professionnels, il a acquis de nombreux ressorts qui lui donnent aujourd’hui l’opportunité d’avoir une conception complète et précise des nécessités de ses collaborateurs. D’après lui, « avoir un discernement global d’un vaste choix de résolutions tout en se concentrant à certaines d’entre elles est réellement indispensable ». Il peut appliquer des techniques appropriées pour attirer de nouveaux usagers et d’éventuels habitués : « le premier objectif est de créer des actions afin d’engendrer des occasions de développement sur le fondement d’une étude plus profonde des flux et des étapes d’usagers ». Il explique : « l’idée est de découvrir des approches originales afin d’aboutir des buts commerciaux, ce qui nécessite l’implication d’une pensée et d’une organisation plus systématique ». Un expert en growth hacking soutient les sociétés à obtenir et fidéliser ses habitués en étudiant les informations expressives qu’il a en sa possession. « C’est plus qu’une fonction, c’est un réel état de conscience », a-t-il affirmé.
Michele Tecchia, un parcours très mélangé
Entre 2000 et 2004, Michele Tecchia a obtenu un diplôme de Master en Stratégie Marketing, à l’Idrac Business School, qui lui a donné l’occasion d’accroître des dynamismes marketing aigus indispensables à l’application de technique marchande. Entre 2004 et 2006, il décide de continuer ses supérieurs afin d’obtenir un diplôme en Sciences politiques et gouvernementales, notamment à Sciences Po Grenoble.
Ce n’est qu’en 2012, qu’il décide de partir à Londres afin d’étudier dans la Growth Hacking Academy, qui n’est entre autres que la première université de growth hacking européen, où il décroche son brevet de Master en Marketing. Cet apprentissage continu de trois mois lui à donner l’occasion d’améliorer sa manière de visionner et d’avancer son travail en s’associant avec différents partenaires, comme des ingénieurs logiciels, des designers ou encore des analystes marketings.
Une fois ses études terminées, il travaille comme agent de communication à Toulouse, chez Expleo Group. Cela lui a permis d’exercer dans la communication intérieure de la société pour un plan Airbus qui se répartit sur plus de 10 sites mondiaux.
Un éclaireur dans l’univers du growth hacking
D’après Michele Tecchia, il était un étudiant malicieux durant son enfance. Durant un concours de secourisme préparé par la Croix-Rouge, pour sécher les cours, il a prétexté que ce concours sera une occasion pour valoriser ses dynamismes. Son équipe a gagné à ce concours, et c’est devenu une tradition durant les années qui suivent, et finira à ce que Michele repense de manière profonde l’initiation aux premières aides et crée le club des jeunes de la Croix-Rouge de Monaco qui se fondera sur des stratégies de renseignements innovatrices. Comme un futur fondateur auteur de circonstance.
En 2012, il découvre le growth hacking en étudiant chez Growth Hacking Academy, qui se trouve à Londres, et qui fait partie des meilleures institutions de growth hacking européen. Il suit une initiation intensive de trois mois offerte par l’établissement ce qui, d’après lui, est une formation qui lui a permis de modifier de manière plus profonde sa façon d’avancer son métier. Cette formation lui a aussi permis de rencontrer plusieurs professionnels de tout genre et ainsi accroître ses expériences.
D’après Michele Tecchia, c’est ce niveau de vision et cette multitude de ressorts qui particularise un growth hacker. Le promoteur de 42 ans détermine son emploi telle la composition des stratégies de marchandisage basées sur l’étude des étapes, des usagers et des informations d’entreprise de façon à engendrer des occasions de développement et à attacher les habitués. De ce fait, d’après Michele, il s’agit d’être compétent de découvrir des dispositifs évolutifs et éditables d’agrandir des dénonciateurs, ce qui exige de posséder un état de conscience éveillé et d’être éprouvé de saisir les différents cas dans leur intégralité.
Grâce au soutien de quelques investisseurs particuliers de Monaco, il crée en 2016 sa propre entreprise. Il y crée plusieurs constituantes de l’accroissement, de la commercialisation et de l’évolution de nouvelles marchandises. Simultanément, Michele Tecchia collabore avec l’entreprise 1min30 sur des techniques d’achat design. Selon Michele, Monaco est le meilleur endroit pour cette activité puisque le Rocher regorge de plusieurs sociétés innovatrices, particulièrement dans l’étude et le traitement d’informations.
Michele Tecchia appartient alors aux premières personnes qui ont pratiqué le growth hacking dans toute l’Europe, lui qui ne se consacrait pas à un métier typique, mais qui était préparé à parcourir toutes les occasions qui se montrent. Finalement, c’est peut-être cet état de conscience qui l’a bâti en tant qu’éclaireur dans le domaine du growth hacking. Dans ce sens, Michele affirme avoir suffisamment acquis de son cursus universitaire dans les sciences politiques puisque cela lui a fourni une ambition et une adaptabilité qui coïncident le mieux à la fonction de growth hacker. Michele Tecchia est donc devenu un nouvel entrepreneur modèle, ambitieux et curieux, qui a su profiter des occasions qui se sont exposées à lui pour les utiliser afin de permettre l’accroissement de ses clients.
Comment définir le growth hacking selon Michele Tecchia ?
Le growth hacking, growth marketing, ou aussi « piratage de croissance » en français, est une technique d’accroissement qui englobe un assortiment de méthodes de commercialisation dont l’objectif est d’activer l’agrandissement d’une société. Créé en 2010 par Sean Ellis, investisseur, entrepreneur d’origine américaine et aussi le créateur de growthhackers.com, la technique de growth hacking sous l’essor de son créateur a participé au développement de certains géants tels que Dropbox, Eventbrite ou encore Airbnb.
Habituellement, le growth hacking est employé par les startups afin de permettre l’obtention de portées d’accroissement d’exception en recourant à des stratégies de commercialisation moins habituelles, à la fois « accrocheuses » et ingénieuses, et ce même sans avoir un budget conséquent ou des moyens importants.
La technique de growth hacking peut débuter par la mise en application de certaines opérations simples. Liées entre elles, ces opérations peuvent vous permettre déjà d’obtenir des effets en matière de développement.
• Retrouver les adresses électroniques des clients afin de leur présenter du contenu et améliorer la conquête,
• Analyser les détails grâce à Google analytics afin de bien apprendre de son public et ajuster sa technique,
• Créer des contenus de grande valeur et appropriés à l’annuité de son audience cible,
• Étudier ses exploits de manière intensive et par le biais des diverses formes de son contenu, particulièrement via la technique de l’A/B testing,
• Inciter la garantie afin d’étendre son public.
Ce ne sont pas généralement les seules opérations à faire, en effet pour aller plus loin, les growth hackers mettent en œuvre d’autres opérations plus ou moins habituelles, nommées les « hacks », comme récupérer des adresses électroniques officielles sur des plateformes de renom, aspirer des contacts sur des portails web, créer des scènes commerciales et automatiser des relances qui sont des fois très soutenues.
Les avantages du growth hacking selon Michele Tecchia
Les techniques mises en application se montrent à petits prix et la quantité de flux employés en simultané crée un effet de levier et garantissent un développement plus rapide. L’occasion de modifier plus vite la technique fait aussi du growth hacking un abord très efficace.
La réussite de la procédure est basée en majorité sur les astuces et les méthodes innovantes appliquées afin d’automatiser le renforcement du développement de votre société. L’initiateur ou l’entrepreneur de la technique nécessitera aussi d’être plus efficace pour réaliser des changements en temps réel afin de s’adapter aux attitudes des usagers.
En savoir plus sur Michele Tecchia : https://www.linkedin.com/in/michele-tecchia-monaco/ et https://www.michele-tecchia.com/